Les Capitelles sur Cassagnes

Cette page n'a pas pour but de faire une étude complète et détaillée sur les Capitelles car il existe déjà des sites où sont publiées des recherches pointues sur le sujet. Dans ces études, il est question surtout de "Cabanes en pierres sèches", terme général regroupant toutes ces petites habitations pastorales. L'appellation de celles-ci varie selon les régions, voire même dans le département des Pyrénées-Orientales.

En effet, le terme de Capitelle utilisé dans le département des P.O. est relativement récent et n'est pratiquement utilisé que dans le Fenouillèdes. Il est inspiré de celui, plus répandu, employé dans les départements du Gard et de l'Hérault. Les anciens du village de Cassagnes se souviennent parfaitement, dans le temps, les nommer "Baraque", d'après le mot Catalan "Barraca" employé abondamment pour désigner ces mêmes cabanes dans le reste du département.

Pour en savoir plus sur ces constructions, le site spécialisé dans le domaine :

L'architecture des pierres sèches.
Avec également les rubriques suivantes :
Les noms des cabanes en pierre sèche.
De "Baraques" à "Capitelles", therminologie en Roussillon.

Sur Cassagnes, plusieurs belles Capitelles sont référencées et certaines ont fait l'objet de restauration avec l'accord et le soutien des propriétaires.

- 2 photos -	La grande Capitelle de Saint-Martin. Elle avait un léger éboulement sur le côté droit et a été restaurée une 1ère fois en 1999, mais hélas 1 an après, tout est retombé. De gros travaux seront nécessaires pour la restaurer une nouvelle fois.
- 2 photos -	Capitelle à St Martin - Latour de France. Autre Capitelle à St Martin mais située sur le territoire de Latour De France.
- 1 photo -	Capitelle toujours à St Martin.
- 3 photos -	Capitelle dite "De Lucette", située également à St Martin. Elle a fait l'objet d'une restauration en 1997.
- 2 photos -	Capitelle au lieu-dit "Roca Gillé".
- 4 photos -	Capitelle au lieu-dit "Plane San Miquel". Elle est située le long de l'ancien chemin de Cassagnes à Néfiach et était un abri privilégié pour les bergers qui empruntaient ces chemins de transhumance. Débrouisaillée en 1999.